L’apéro aidant, nos femmes des-inhibées s’enfonceraient de plus en plus dans le canapé nous montrant sans s’en apercevoir qu’aucun sous-vêtement ne faisaient partie de leur tenue. Nous passerions à table, la conversation dérivant doucement sur des sujets plus sexy voir sexuels, créant une tension que nous entretenions une main sur la table l’autre excitant nos conjoints.

La respiration de mon voisin s’emballait alors que E laissait de plus en plus de blancs dans la conversation, fermant les yeux pour apprécier les sensations de mon doigt agaçant son clitoris.